Citoyens actifs ou militants issus d'organisations qui constituent le Front de gauche, nous nous engageons en politique pour lutter contre les injustices et défendre le droit à l'espérance : construire collectivement des projets qui profitent à tous, sans discrimination.
Avec les citoyens de "La parole aux Granvillais-es" et les habitants que nous avons rencontrés depuis de nombreux mois, nous mesurons la chance d'habiter une ville qui a de nombreux atouts et une histoire qui lui ont permis d'être prospère. Malheureusement, Granville s'endort peu à peu sur ses anciens lauriers. Il est temps pour les citoyens de reprendre le contrôle sur l'avenir de leur ville. Nous avons invité les Granvillais-es à exprimer leurs préoccupations et à trouver des réponses nouvelles, concrètes et profitables à tous. "La Parole aux Granvillais-es" est le porte-voix de ces préoccupations : des transports en commun, du travail, des écoles dignes de ce nom, une ville accessible, se soigner facilement, plus d'espaces verts et plus de démocratie.
Nous devrons quoi qu'il arrive, faire preuve d'imagination ensemble pour rendre la ville plus agréable à ses habitant-e-s. Et ce, malgré l'austérité imposée par un gouvernement qui baisse pour la première fois les dotations de l'Etat aux collectivités locales. C'est néfaste pour tout le monde. C'est donc aussi pour imaginer des politiques alternatives et porteuses d'avenir que nous nous battons.
Avec les citoyens de "La parole aux Granvillais-es" et les habitants que nous avons rencontrés depuis de nombreux mois, nous mesurons la chance d'habiter une ville qui a de nombreux atouts et une histoire qui lui ont permis d'être prospère. Malheureusement, Granville s'endort peu à peu sur ses anciens lauriers. Il est temps pour les citoyens de reprendre le contrôle sur l'avenir de leur ville. Nous avons invité les Granvillais-es à exprimer leurs préoccupations et à trouver des réponses nouvelles, concrètes et profitables à tous. "La Parole aux Granvillais-es" est le porte-voix de ces préoccupations : des transports en commun, du travail, des écoles dignes de ce nom, une ville accessible, se soigner facilement, plus d'espaces verts et plus de démocratie.
Nous devrons quoi qu'il arrive, faire preuve d'imagination ensemble pour rendre la ville plus agréable à ses habitant-e-s. Et ce, malgré l'austérité imposée par un gouvernement qui baisse pour la première fois les dotations de l'Etat aux collectivités locales. C'est néfaste pour tout le monde. C'est donc aussi pour imaginer des politiques alternatives et porteuses d'avenir que nous nous battons.
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